Une victime de guerre (morte) entraîne à sa suite une série de
victimes collatérales, de traumatismes sur plusieurs générations, transmis par
ses proches (maris, femmes, fiancés, compagnes, parents) définitivement
perturbé/es. Le bourreau ne tue pas qu'une fois, mais une infinité. Et le
dernier meurtre, c'est l'oubli, dont nous sommes tous responsables.