Un personnage infiniment plus intéressant, anarchiste catalan, mort sous le garrot en Espagne (lien) le 2 Mars 74 à Barcelone. Ami de Jean Marc Rouillan, toujours détenu, ce qui le détermina ensuite à son activisme.
Merci pour ce court article. Pour mon blog, je réagis en ce moment à une nouvelle connerie de Sarkozy qui prétend qu'il faut poser un "garrot" à l'hémorragie des emplois industiels. Occasion donc de rappeler ce que fut le garrot comme peine de mort sous les lois de l'Espagne franquiste.
J'appartiens à la génération post-soit-huitarde et sans n'être nullement en faveur du terrorisme, mais connaissant par diverses filières amicales des opposants à la politique anti-franquiste - dont un autre Puig - j'avais participé à Orléans à la grande manifestation contre cet assassinat légal. Les larmes aux yeux et proche de la même colère exprimée par de nombreux/(ses) Espagnols, souvent proches de la CNT.
Je suis socialiste - toujours critique quand c'est nécessaire - et jamais partisane de l'extrémisme à la mode allemande (Fraction armée rouge de la Bande à Baader) ou française (Action directe) qui prétendit se tenir devant les masses. Mais néanmoins révoltée devant le sort réservé aux activistes de cette époque : refus de libération conditionnelle quand ils furent à l'article de la mort - comparaison avec Pinochet ou un autre salopard du même genre : Papon, tout guillerets sur le tarmac.
Merci pour ce court article. Pour mon blog, je réagis en ce moment à une nouvelle connerie de Sarkozy qui prétend qu'il faut poser un "garrot" à l'hémorragie des emplois industiels. Occasion donc de rappeler ce que fut le garrot comme peine de mort sous les lois de l'Espagne franquiste.
RépondreSupprimerJ'appartiens à la génération post-soit-huitarde et sans n'être nullement en faveur du terrorisme, mais connaissant par diverses filières amicales des opposants à la politique anti-franquiste - dont un autre Puig - j'avais participé à Orléans à la grande manifestation contre cet assassinat légal. Les larmes aux yeux et proche de la même colère exprimée par de nombreux/(ses) Espagnols, souvent proches de la CNT.
Je suis socialiste - toujours critique quand c'est nécessaire - et jamais partisane de l'extrémisme à la mode allemande (Fraction armée rouge de la Bande à Baader) ou française (Action directe) qui prétendit se tenir devant les masses. Mais néanmoins révoltée devant le sort réservé aux activistes de cette époque : refus de libération conditionnelle quand ils furent à l'article de la mort - comparaison avec Pinochet ou un autre salopard du même genre : Papon, tout guillerets sur le tarmac.