Blog-note

mercredi 24 décembre 2014

Pervers dits narcissiques en 8 images

I love you so much. It's too stupid you left me

Why you don't want again? 

Colette? HIV ? You are joking !

She would never make me cuckold, she is too much in love with me !she is too much in love with me. 
Never risk !

You say yes and I manage to get rid of her!
Please. I know you love me too!

Asshole !

Always you spoil everything !

http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/12/mpn-reponse-une-internaute-suite-cest.html

samedi 20 décembre 2014

Le psychiatre, le MPN et le/a "patient/e"



Question : un MPN avoue-t-il son mal être ? 
 



H : - Il ne le disait pas et même le niait mais c’était évident. Sauf tout à fait à la fin, lorsque nous n'eûmes plus aucune relation, lorsqu’il m’avoua "je me déteste moi-même". (Un peu tard.) Il me poussait à bout pour que je pique une crise et ensuite appelait -parfois- le SAMU. A la limite, à un moment, complètement épuisée,  je ne savais tellement plus où j'en étais que j'aurais presqu'été d'accord pour être internée, soulagée, juste pour avoir la paix, me reposer enfin loin de lui, de ses reproches, ses harcèlements, et à la fin, ses insultes. J'ai réagi à temps sinon avec les médocs dont on m'aurait probablement farcie.. je crois que j'y serais encore, réduite -peut-être- à l'état de légume ou quasiment. Lui, tranquille : tout le fric pour lui (y pensait-il dès ce moment? je l'ignore mais la suite montre que c'est tout à fait possible) et fini son principal souci qui était, paradoxalement ! que je ne le quitte. 

Les scènes -surtout à la fin-, véritables passages à tabac psychologiques se terminaient par des philippiques du style "ratée, minable, parasite, jalouse, envieuse, folle -comme ta mère et ta tante-, quel cadeau ! (mais bizarrement il ne voulait pas que je le quitte!!!) : sans moi pourrais-tu avoir cette bagnole? Hein? Dis moi ! Cette maison? Ce jardin que tu aimes tant ? Et tu oses etc etc..." Il m'est arrivé de hurler... et c’est là qu’il appelait les pompiers. A un moment, j'ai dû aller aux urgences psy de St Anne je ne sais combien de fois. Dix peut-être en tout ou même davantage encore. Personne ne m'a vraiment aidée -les psychiatres ne m'écoutaient pas et me proposaient des médocs- sauf SOS amitié, une fois seulement. Un soir, pendant que le psychiatre était sorti un instant, j’ai lu ses notes sur moi qu’il avait laissées sur le bureau –un mec particulièrement antipathique certes mais bon-, une horreur, il reprenait mes propos avec une effroyable ironie, d'une manière malveillante à l'extrême, en omettant toutefois certains mais en rajoutant d’autres pour faire joli, le salopard (misogyne?) devait avoir une vocation rentrée de romancier sans le talent de Flaubert. En gros et en langage profane, j'étais une bourgeoise un peu garce -calculatrice- velléitaire et versatile qui prétendait vouloir (!!) changer de vie sans le faire et, bien que souffrant de [je ne me souviens plus du terme mais je crois paranoïa et autre chose encore] notamment [donc il devait y avoir plus encore à mon passif ! notons ici la péjoration de la pathologie par celui-là même qui est censé la soigner, paradoxe!] refusait radicalement l'hospitalisation (!) et les médicaments, prétendant qu'ils vont la rendre dépendante et qu'elle n'en a pas besoin (!) -sa paranoïa semblant s'exprimer essentiellement envers les milieux médicaux qu'elle connaît bien, une TS à 16 ans assez grave*-, reportant son mal-être sur son entourage et surtout son mari (!!) bien qu'apparemment satisfaite d’un sort dans lequel elle trouve des bénéfices secondaires non négligeables, son entourage s’inquiétant infiniment à son sujet et la mettant à l'abri du besoin... bref, un cas d’hystérique etc.. –cela peut vouloir dire "jouant la comédie"- ! qui emmerdait tout le monde avec ses états d'âmes à la con" ce n'est certes pas la lettre mais bien l'esprit. L'horreur, certes j'avais lu Laing et Esterson -heureusement - mais C’ÉTAIT AU DELÀ DE CE QUE JE POUVAIS IMAGINER. Je l’ai traité de salopard ou d’enfoiré lorsqu’il est revenu, il n’a pas bronché et a noté posément (certainement "se montre intolérante à la critique, bordeline ou psychotique voire pire ?) J’ai fui. 




* Comment le savait-il ? je n'en avais jamais parlé : apparemment, "ils" avaient posé "un diagnostic commun" (!)  mon ex -qui n'est pas médecin- et lui, en réunion ou seulement dans le couloir vite fait alors qu'on m'avait conduite au bureau pour les formulaires à remplir (?).. A ce sujet, une anecdote marrante : un soir, un gus qui attendait me parla aimablement. Très cohérent, cultivé, aimable. "Vous faites quoi?".. "Prof de philo" ... "Tiens ! comme ma mère".. "Vraiment? Et vous?"... "Moi je suis chasseur de têtes, en somme"... "Comment ça?".. "Je suis expert en [...] et chargé par un grand cabinet -il me dit le nom- de recruter des spécialistes pointus pour tel ou tel boulot. Je voyage donc beaucoup. En ce moment, j'ai quatre contrats que je ne parviens pas à honorer. Je crois que c'est la fatigue qui m'a conduit là, avec le décalage horaire, je n'ai pas dormi depuis trois jours et du coup j'ai eu comme une.. hallucination, ma femme s'est inquiétée".... etc... 
Passe alors un.. psychiatre? infirmier psychiatrique? infirmier tout court? aide soignant? secrétaire? Mystère. Blouse blanche en tout cas : -Monsieur Dupuis? -Oui, c'est moi. -Profession s'il vous plaît, ce n'est pas noté. -Chasseur de têtes.." répond distraitement le "malade" en manque de sommeil. Le gus ne bronche pas d'un poil. -Ah!!! de têtes, oui... évidemment... de têtes... quelles têtes? Iroquois? Fantômes?" On a éclaté de rire. "Non désolé Monsieur c'est vraiment ma profession.. c'est à dire que je cherche..." Toujours pas démontée, la blouse blanche l'a aussitôt coupé : -Bien, bien, ne vous justifiez pas Monsieur, j'ai noté.." (Mais qu'avait-il noté?) Et il est reparti du pas mécanique bien dressé qu'ils ont tous, l'allure sèche et préoccupée copiée, pour les non médecins, des médecins, et pour les médecins, de l'archétype de la Science en Marche. C'est la seule fois où je me suis marrée comme une ... euh, comme une folle..

Dossier
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/11/racamier-la-perversion-narcissique.html

vendredi 12 décembre 2014

LItanies en gif !




 Tu m'as quitté.. et tu as la culot de me réclamer du fric? Tu ne vois pas la contradiction? Parce que j'ai 2500 E/m et toi 700 ? Ce n'est pas de ma faute si tu es une ratée minable jalouse... Colette? Mais c'était parce que j'étais trop malheureux après ton départ. Je ne peux pas vivre seul. Je l'avais avant ? Mais elle ne compte pas, tu le sais ! j'étais désespéré. Tu es et a été mon seul grand amour. Non, je ne veux pas divorcer, ça me déchire. Pour toujours tu restes ma femme. Une indemnité compensatoire? Mais tu rêves !
Tu m'as quitté... et tu as le culot de me réclamer...

LE DOSSIER
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/11/racamier-la-perversion-narcissique.html

Les MPN : deux types distincts de handicapés

Je dirais que les MPN sont de deux types, non équivalents -bien que se renvoyant l'un à l'autre-  handicapés des affects et handicapés de la morale. Le premier peut être culturel donc ACQUIS et labiles, "guérir" puis revenir en force- ; il est des milieux où on enseigne aux enfants directement ou non dès leur plus jeune âge que les faibles sont à exploiter, à la limite pas vraiment des hommes, c'est la condition de la réussite, ça va de soi et n'a pas à être discuté. IL Y A "NOUS" -les seigneurs- ET LES AUTRES -pour nous servir-. C'est LA règle, LA valeur. L'enfant apprend donc à obérer ses affects puis à les annuler, vis à vis de certains au départ en ensuite de -presque- tous : il ne veut pas être au ban de son entourage. Il peut y avoir un embellie -un amour vrai- mais provisoire, qui cessera à la première anicroche. Soudain, l'être aimé se met alors à faire partie des "autres", de ceux que l'on se doit d'utiliser. Or dans un groupe, s'il y a UN seul MPN, tous en seront affectés et en définitive, le deviendront plus ou moins, c'est la multiplication des paons (des pains! ) de la Bible.


Ces handicaps le servent : en règle générale, même s'il est d'intelligence très moyenne, le MPN "réussit" fort bien dans la vie : argent, carrière, notoriété, entregent, relations -superficielles et utiles car il n'a pas d'amis véritable, ne se livre jamais donc n'est parfois pas très charismatique, on sent vaguement en lui quelque chose qui dysfonctionne sans pouvoir mettre un nom dessus-. C'est normal : ses actes n'étant jamais obérés par la retenue morale qui empêche de mal faire, il peut "tout", les autres ne l'intéressent pas. Et leur peine, s'il en a conscience, pas davantage, -ou il en jubile- si ça le sert
..
Le premier handicap -des affects- peut être culturel donc ACQUIS -et peut varier ensuite dans le temps, "guérir" puis revenir en force- : il est des milieux où on l'enseigne aux enfants directement ou non, dès leur plus jeune âge que les faibles sont à exploiter, à la limite pas vraiment des hommes, condition de la réussite, ça va de soi, une règle qui n'a pas à être discuté. Même si cela n'est pas explicite, c'est tous les jours acté devant eux. C'est LA valeur. IL Y A "NOUS" -les seigneurs- ET LES AUTRES -pour nous servir-. [Une "excellente" mère dira par exemple devant ses enfants : "Je vais la renvoyer -la "bonne" toute dévouée depuis longtemps- elle est malade, peut-être même enceinte, quelle horreur, j'en enfin trouvé une autre mieux... et puis elle n'ira pas se plaindre, c'est une kurde.."] Si la mère chérie le fait, C'EST QUE CELA DOIT SE FAIRE. Les enfants apprennent donc à obérer leurs affects puis à les annuler -pour ne pas trahir ou paraître imbéciles et être mis à l'écart des "NOUS", des parents surtout-. Il peut y avoir un embellie provisoire plus tard reliée à l'amour mais qui cessera à la première anicroche. Réflexe conditionné, l'être aimé retourne aussitôt dans la case "autres", celle de ceux que l'on doit utiliser, c'est à dire l'ensemble des humains ou presque. Or lorsque dans un groupe il y a UN seul MPN, tous risquent ou en seront contaminés, y compris les victimes, -ce qu'ils sont plus ou moins tous-  et en définitive le deviendront peu ou prou. C'est la multiplication des paons (des pains! ) de la Bible. Même en cas d'amour, l'être aimé devra s'aligner au consensus. Le MPN es un intégriste : il ne connait pas la demi mesure, il "aime" -si ce mot peut avoir un sens pour lui-, mais exige l'adéquation totale, pire, il ne l'exige même pas, elle va DE SOI ; l'être aimé est "lui", membre de son "tout" et doit fonctionner pour lui/eux. L'inverse? Cela ne lui vient jamais à l'esprit. Il reprend la formule biblique : "Qui n'est pas avec moi est contre moi"... mais il ajoute "qui n'est pas avec les "miens" est également contre moi." Il reste cependant déchiré, versatile, tantôt aimant tantôt haïssant... jusqu'à ce que la haine -ou l'indifférence- l'emporte si l'autre ne cède pas*. Il n' "aime" -ou plus exactement ne consent à vivre avec- que les esclaves. [Sur ce plan, il se rapproche de l'handicapé moral.] Car le MPN de ce type, quoiqu'on en dise, souffre malgré tout de l' "ascétisme" imposé par son milieu -annuler ses affects lui pèse parfois, même si socialement une telle restriction est remarquablement efficace. C'est pourquoi il aime se garder un jardin secret [c'est l'être aimé qui le symbolise -comme un arbre, une plante verte- sans qu'il ait le droit de bouger. Un symbole ne bouge pas.]



Le handicap des affects génère donc logiquement le handicap de la morale : si l'autre n'existe pas comme alter ego, on peut tout se permettre contre lui. Et ça marche.

Le MPN handicapé de la morale est d'emblée est indifférent à toute émotion, compassion, enthousiasme et/ou admiration devant l'autre ou UN autre. Lui seul vaut et prévaut. Là, on est proche de la psychose et cela semble inné. Ce sont des êtres désincarnés, hors monde, sis dans un univers où tout est permis, plus exactement où tout LEUR est permis et dû. [Il sont en quelque sorte d'éternels enfants, tel celui qui criait le matin avec impatience et colère vers la fenêtre : "Soleil, lève toi !!"... des enfants pour qui seuls existent leur ego et éventuellement celui de ceux qui le servent, tout puissant y compris devant les éléments... Un autre exemple est celui de cet homme, accusé d'avoir assassiné sa femme dans des conditions particulièrement atroces, qui, après avoir longuement glosé sur les défauts de la malheureuse alors qu'on attendait de sa part une demande de pardon avant la délibération des jurés, a eu ce mot de la fin, "magnanime" : "mais maintenant je lui pardonne"... n'ayant visiblement pas COMPRIS ni envisagé une seconde que c'était de lui qu'on exigeait qu'il demande pardon (!)] Le handicap moral plus envahissant, plus "générique" génère lui aussi le handicap des affects (mais l'inverse on l'a vu n'est pas totalement vrai.) 

* Il n'est pas tout à fait innocent que mon ex se soit soudain mis à réussir sans fautes une carrière de cadre sup qui -de son point de vue- "stagnait" un peu -de son fait, il s'en foutait complètement- au moment où il s'est totalement détaché de moi. Libre enfin ! de redevenir le fils Idde, celui qui peut et à qui tout est dû... et qui va brillamment naviguer dans les intrigues, les combines, devenu le fils putatif d'un Important sympa qui lui mit le pied à l'échelon supérieur etc... Dont acte. Pas innocent non plus si après avoir "fait" le militant gauchiste extrémiste -j'écris bien avoir FAIT- il s'est sans ambages ni la moindre gêne coulé dans le moule du grand bourgeois à la fois coincé, conformiste sans souffle, courtisant de gratin et hautain envers la vermine : puérilement fier de sa "réussite" au point de me lancer ces paroles historiques inconcevables autrefois dans sa bouche, envers quiconque mais a fortiori envers moi : "tu n'es qu'une minable ratée parasite jalouse bla bla et [bla bla tes revenus sont tels que] TU NE COMPTES PAS.." Vertige, impression vague que ce n'était pas lui qui parlait... qu'il s'était en quelque sorte comme par un funeste "miracle" glissé dans son apparence quasi intacte un odieux abruti de la veine de ceux dont nous nous moquions cruellement autrefois de concert. Le mythe d'Utter Pendragon mais hélas à l'envers : Utter, roi de Cornouailles, amoureux d'Igerne -qui malheureusement pour lui est résolument fidèle à son mari Gorlois-, suppliant Merlin de faire en sorte qu'elle l'aime...obtient enfin de celui ci qu'il lui donne pour un soir l'apparence de Gorlois, d'où la nuit échevelée que l'on imagine.. au cours de laquelle sera conçu Arthur-. Le mythe du Saint Esprit version celtique, plus poétique... et plus humaine.)




 

dimanche 7 décembre 2014

Une vidéo à voir absolument

Maltraitance économiques. Les faenas.. et conclusion

Aller à la Cèze avec les chiens -il faut faire marcher Tess, qui sinon se paralyse- chercher du bois d'allumage -celui que j'ai acheté à G. est... MOUILLE et ne prend pas ! Revenir, le couper, nettoyer la salle -à cause des chiens, surtout Tess, âgée et un peu encoprétique- cela prend du temps. Aller puiser, c'est agréable par contre, laver quelques affaires... et surtout, grosse histoire, faire partir le poêle ! Raté, tout fume, je dois tout ouvrir, heureusement il fait beau -pas trop froid-.. puis réussite au troisième coup. L'eau chaude -enfin presque!- pour me laver. Le café... Tout va bien. Téléphone. C'est "lui". Il va me faire un chèque -à ma demande- et non un mandat -je n'ai pas les codes-. Et enfin, 3 secondes de conversation me font comprendre le pot aux roses :
- As-tu contacté un autre avocat POUR LE DIVORCE ? 
- Oui!!!! c'est en bonne voie ! (air joyeux de celui qui a réussi un exploit et/ou d'un enfant qui apporte un collier de nouilles à sa maman pour la fête des mères.)
-Mais pourquoi l'autre ne te plaisait-il pas? (C'est ce qu'il m'avait dit.)
- Euh... il ne m'a pas recontacté..(Apparemment, il l'a appelé et c'est tout.)
- Et l'autre? Il est bien?
-Je verrai.. Je ne sais pas. C'est des copains qui me l'on indiqué.
- Parce que tu ne l'as ni vu ni appelé?
- Ben on est dimanche. 
- OK Bye. 






 
 





 



 
Résumé : depuis 3 semaines où il assure "s'occuper" du divorce, il a PASSE UN COUP DE FIL point. Il traîne des pieds: chaque mois de gagné est autant de gagné pour lui -pour la prestation qu'il me doit.- Évidemment. 1500 Euros donc. Ça vaut le coup de faire le hon. Et avec les travaux je ne peux pas aller à Paris.


Le dossier

http://femmesavenir.blogspot.com/2014/11/racamier-la-perversion-narcissique.html

dimanche 9 novembre 2014

Une femme violeuse et tortionnaire de sa fille; rare mais cela existe.



Viols + actes de barbarie, les viols d'une enfant par sodomie à l'aide d'objet étant particulièrement atroces -des hurlements, sur une cassette, d'une violence inouïe-. 

FS : - "Elle reconnaît tous les faits qui lui sont reprochés et assure avoir agi ainsi pour satisfaire son amant, Nicolas, 32 ans, qu'elle accuse également d'avoir violé l'enfant en sa présence." Une femme immature sous emprise peut être complice d'abus sexuels, elle en est très rarement l'instigatrice, pourtant elle va être sans doute condamnée à la même peine que son empriseur.
.
HL : - Je ne sais pas; parfois des femmes, certes sous emprise, peuvent aussi et en même temps être instigatrices, encourageant le bourreau ou le défendant contre toute évidence et toute "humanité". http://femmesavenir.blogspot.fr/.../08/le-syndrome-de-s.html Ici, Adèle fait (ou tente de faire) subir à Léna ce que sa sœur et sa nièce -et peut-être elle même?- ont subi de leur père ; certes elle est sous emprise du patriarche violeur, mais même après sa mort, elle s'acquitte de sa "tache" avec ferveur... jusqu'à recruter sa fille pour la seconder lorsque le "morceau" cible est un peu gros pour ses "compétences", assez minimes. Seuls, certains/es ne peuvent et ne font rien. Mais à deux... !! c'est pourquoi ils/elles "recrutent", mais dans ces sortes de tandems, les femmes s'il y a lieu doivent être condamnées à l'égal des mecs, rançon de l’égalité. N'oublions pas que Monique Olivier -la femme de Fourniret- s'est déballonnée lorsque Michèle Martin -la femme de Dutroux- a été condamnée-assez lourdement, quoique..- Les violeurs, tortionnaires ou seulement pervers sont en réalité souvent des personnages "faibles", pusillanimes, incapables, sans consistance ni envergure, eux mêmes terrorisés -par de plus forts ou supposés tels- se vengeant sur de plus faibles; ce qui vaut pour les mecs vaut également pour les femmes et rien n'excuse de tels actes.