Blog-note

dimanche 6 janvier 2013

Anna Politkovskaïa et le génocide tchéchène; Depardieu et l'argent; Bardot et les éléphants




C'était à la rubrique "chef d'œuvre en péril" du Times et Huffington Post, un soir de cuite mais de cuite russe, c'est à dire de cuite puissance n. Poutine, l'ami des bêtes mais pas d'Anna Politkovskaïa a l'oeil qui s'allume soudain.

"SOS, actrice sexe symbole, poitrine célèbre et fesses n'en parlons même pas, échangeait son statut d'icône éternelle de "the" femme enfant sensuelle contre la vie de deux éléphants menacés de mort, accepterais tout asile même de Hugo Chavez. Les hommes politiques français sont tous des truduc. Brigitte Bardot." Emoustillé, le Pou-pou des Pussy Riot a cru qu'un des éléphants menacé d'euthanasie était Depardieu car une autre annonce de la même veine attira son œil égrillard: "Moto star d'innombrables films plumé par ce nimbus nébuleux de Hollande qui veut sous prétexte de crise, écorner un tas d'argent si laborieusement acculumé (je laisse) par une popularité anti conformiste révolutionnaire [comme faire pipi dans un avion devant un public égaré] cherche pays intéressant, climat indifférent, même l'Alaska si chauffage gratuit, étudierais toute proposition. J'emmerde les bourgeois. Les hommes politiques français sont des truduc. Gérard Depardieu." Sacrée Brigitte, elle faisait donc aussi dans la récup d'encombrant.

Il s'est aussitôt empressé d'accepter et la femme et l'éléphant qui allait avec, bien décidé à être témoin de la noce en mondiovision. Hélas, il dut se contenter de l'hénorme, à la grande joie des vivandiers du bled, Brigitte ayant immédiatement trouvé preneur chez Obama d'Iron Lodge dans une réserve d'indiens végétariens...  

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