L’être humain est un territoire sacré. Personne n’a le droit d’y
pénétrer. Toute intrusion, sans l’accord de l’intéressé, sous quelque
prétexte que ce soit, constitue un viol. Chacun est libre, par nature,
de disposer de son corps, de son esprit et de son âme, selon sa volonté.
Ce droit est imprescriptible.
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Connecticut
Au
fur et à mesure que
les heures passent et que les circonstances de l'effroyable tuerie
[de Newtown] apparaissent le portrait psychologique du tueur se dégage.
Et les causes, la dangerosité des armes à feu. Oui mais.. Pendant qu'une
trentaine de personnes dans une école du
Connecticut, dont de très jeunes enfants, tombaient sous les balles du
tireur fou, en Chine avec un simple couteau un autre tueur
faisait une vingtaine de victimes également parmi des enfants ! La liste
est longue :
Francis Holmes, Madame Lhermitte (5 enfants égorgés), Dormier (18
morts), à Solliès-Pont (16 morts) à Tours (5 morts), en Norvège (76
morts), en Vendée le Dr Becaud (5 morts) etc… le nombre des tueries en
France est très impressionnant et les armes utilisées ne sont pas
toujours
les mêmes. [Il est évident qu'avec une arme de guerre on peut tuer plus
qu'avec un simple couteau, et qu'il faut interdire l'accès et
la prolifération de ces outils de mort.] Mais un point commun qui
n’échappera pas aux épidémiologistes, tous
les drames cités et bien d'autres ont été commis sous l'emprise du
Valium Roche ou d'un "tranquillisant ou somnifère" anxiolytiques de la
même classe. "Le Prix du bien être"
!
Pour ma part, depuis plus de 20 ans après mon propre drame familial, je
pose la question : le Prix du bien être des populations
par des prescriptions d'anxiolytiques autorise-t-il la mise à mort
programmée de tant de victimes parfois très jeunes ? (Lien avec "les médicaments qui vous veulent du mal".)
Georges Alexandre Imbert Président de l’AAA-VAM
________________
*CONTROVERSE: le drôle de jeu de M. Imbert (Le Parisien)
Georges Alexandre Imbert Président de l’AAA-VAM
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*CONTROVERSE: le drôle de jeu de M. Imbert (Le Parisien)
Georges Alexandre Imbert, président de l'Association d'aide aux
victimes des accidents de médicaments était-il totalement
désintéressé lorsque lundi dernier il réclamait des
négociations "à l'amiable" avec le laboratoire Servier afin d'obtenir
des indemnités pour les victimes du Mediator? Conflit d'intérêt? L'association qui traite
actuellement 1000 dossiers réclame à chaque patient qu'elle défend un pourcentage
sur les indemnités qu'il percevra. Dans le document d'adhésion, on peut lire "l'adhérent donne
l'ordre irrévocable au cabinet d'avocats ou aux assureurs chargés de
régulariser la transaction de virer au compte bancaire de l'Aaavam 5% du
montant de l'indemnité allouée au titre du dédommagement". Concrètement, si les mille dossiers se soldent en
moyenne par 100 000 € d'indemnités chacun, l'association empochera
5 millions d'euros, une pratique qui fait bondir l'UFC Que
choisir par Alain Bazot : "C'est inacceptable, tout le montant du
préjudice
doit aller aux victimes. Les associations doivent être financées par
leurs cotisations". Georges Imbert, répond "qu'il ne touche pas un
centime personnellement. Mais a besoin d'un peu d'argent pour les frais
de procédures, de déplacement et de secrétariat". Mais "le problème,
c'est que
M. Imbert a une relation privilégiée avec Jacques Servier, qui le
manipule, peut-être à son insu" accuse un avocat. Celui-ci admet leur
"proximité" depuis qu'Isabelle Servier sa fille a tué son mari en 1999
(elle a bénéficié des
circonstances atténuantes, le tribunal ayant estimé qu'elle avait agi
sous l'emprise de benzodiazépines produits
par la firme suisse Roche.) "Isabelle Servier avait rejoint mon
association avant son procès. Sur le conseil de l'avocate de Servier,
j'ai effectivement été cité comme expert à son procès et dénoncé
le danger de ces médicaments. Si cela a pu l'aider, j'en suis fier",
explique Georges Imbert qui a connu un drame
similaire, le suicide de son fils par défenestration après la prise de
la même classe de médicaments, à l'origine de son combat.
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