Blog-note
mardi 30 juin 2015
Violences envers les animaux, violences envers les hommes, les soeurs Papin
Violence contre les animaux, violences contre les femmes (ou les hommes). Je lis sur le viki à propos du crime des sœurs Papin des employées modèles, des perles, trimant depuis des années chez des bourgeois du Mans (dont le mari était compromis dans un scandale financier) contre leurs deux patronnes ceci, ne riez pas SVP : "on peut noter que les sœurs Papin ont traité leurs victimes comme il était recommandé de le faire dans les manuels de cuisine de 1900 pour préparer des lapins, en les assommant, les saignant, les dépouillant, leur enlevant les yeux, et pratiquant des "ciselures" sur les grosses pièces, avant de tout nettoyer quand tout est terminé. Christine et Léa, dans leur passage à l’acte, ont produit les deux cadavres comme des plats "prêts à cuire", laissant transparaître leur savoir-faire de cuisinières." No coment. Mmmm ?
dimanche 28 juin 2015
Anti végétarisme, sexisme, obscénités
Antivégétarisme, antisémitisme et sexisme, le pack. |
Sexisme à visage humain, j'accuse !
Soit un pote, bien sous tout rapport, bourge éclairé kondit, bon type cultivé soucieux des autres, catho fervent, Messe le dimanche et ami de l'évêque enfin tout bien.... Conversation au téléphone il y a cinq minutes :
-La décapitation c'est horrible, je ne me vois pas faire ça.. bon les canards, j'étais obligé quand j'étais gosse mais.. oui, si on veut les manger, il faut bien, et les lapins... etc"..
-Tu n'es pas obligé de manger de la viande, du reste ça te ferait du bien" (coup de pied de l'âne, le premier, il n'est pas maigre et son foie s'essouffle un peu.)
-Mais tu manges bien des salades, les pauvres salades tout de même, bêbêbê.."
-Ne fais-tu pas la différence entre un veau et toi? (Idem). Entre une salade et un lapin? Tu me déçois quant à tes facultés intellectuelles qui malgré ton âge (idem) sont encore assez remarquables pensais-je.. du reste lorsque tu manges des graines, ce qui est mon cas essentiellement, tu ne fais que prendre un ovule ou le fruit d'un arbre exemple l'amandier sans y toucher..."
-Mais le pauvre virus du HIV alors, tu y penses !"
-Idem, ne vois-tu pas la différence entre ce coquin et une amande?"..
- Mais pire encore, lorsqu'une dame après une pipe, avale.."
- Là je te dis bonne après-midi .."
-Mais tu ne vas pas te vexer pour..."
- Oh mais si.. et pas vexer : vexer, c'est quand on ne vous a pas tenu la porte, rompre, c'est quand on vous a agressée."
Malgré ses exhortations navrées:
-Je pensais pas que tu étais si... enfin... coincée quoique.. d'habitude tu parles librement de ces "choses"..
-JE SUIS JUSTE QUELQU'UNE QUI NE SUPPORTE PAS LES OBSCÉNITÉS QUE JE CONSIDÈRE COMME DES AGRESSIONS SEXUELLES, SOFT MAIS DÉGUEULASSES TOUT DE MÊME."
Clic. Salut Maurice Duveau que j'aimais bien. La prochaine blague de ce type, je mets ton nom véritable, c'est l’évêque kivapaetre content ainsi que le Maire de [...] et le patron de [...] tes meilleurs potes ou relations, parents etc. Ça va jaser dans les travées de la cathédrale. Pigé?
vendredi 26 juin 2015
Vent d'est, vent d'ouest, prémonitoire ? les pieds bandés..
http://drquinn.forumprod.com/la-tradition-chinoise-des-pieds-bandes-t479.html
"Vent d'est, vent d'ouest" (Pearl Buck), retrouvé en rangeant et relu d'un trait, m'a bouleversée, bien plus que la première fois que je l'avais lu il y a des lustres (je l'avais alors trouvé par certains cotés qui m'avait agacés presque du genre roman "rose")...
Une impression poignante de reviviscence, des scènes à peu de choses près identiques*... tout se passe comme si ma vie avait été ainsi "tracée" sans que je ne m'en souvienne par ce livre lu à ? 13 ans ? c'est à dire qu'elle fut en partie copiée sur celle de la jeune américaine amoureuse d'un homme d'une autre culture rencontré aux USA où il était venu faire ses études (un chinois en le cas, certes occidentalisé mais ligoté par les liens indénouables d'un clan traditionnel)... Mary qui naïvement tente en vain de s'intégrer dans sa famille... jusqu'à leur fuite lorsqu'il s'avère que ce ne sera jamais le cas, racisme oblige : elle n'a finalement été "acceptée" ou plus exactement tolérée que par la force des choses (il est fils unique), la volonté imployable de son mari qui y avait cru, et provisoirement, dans l'espoir qu'il se lasse enfin d'elle... (c'est à dire "acceptée" comme "petite femme", concubine)... Avec en prime quelques regards concupiscents des hommes étonnés -elle est exotique-, parfois la jalousie des femmes supplantées par une étrangère qui de surcroît n'a rien fait pour cela, et des sous-entendus égrillards de la part du chef de clan, (le père, grand "amateur" de femmes qui la lorgne ouvertement**, certes elle est belle, mais en plus, que peut-elle bien posséder de savoir-faire sexuel pour que son fils s'y soit tellement attaché, lui qui pouvait disposer à l'envi des plus habiles courtisanes?) Elle croit à de la compassion vis à vis sa dramatique situation de rejet (et ne comprendra qu'après.)
Jusqu'à la "catastrophe" qui va coûter la vie de la terrible matriarche désespérée qui en mourra de chagrin : Mary devient enceinte ... (le mari est promis depuis toujours à une jeune fille idoine, même milieu, même fortune etc!) Le père exige alors tout simplement de son fils qu'il la renvoie chez elle, mais avec une grosse somme d'argent pour la "dédommager" et la payer pour l'enfant. [Par parenthèse, dans ces familles au strict moralisme, avec esclaves, meurtre de petites filles en cas de "nécessité" (besoin de nourrice par exemple), "achat" de jeunes concubines au fur et à mesure que les maternités ont abîmé la précédente... celles-ci, lorsque le maître passe une nuit avec elles selon ses préférences et leur savoir-faire, souvent la dernière, la plus fraîche, (et les rivalités qui vont fréquemment jusqu'au suicide, entre ces malheureuses méprisées par tous sont épouvantables et sordides).. celle-ci est payée, ce qui les réduit à la situation de prisonnières prostituées permanentes à temps plein avec un seul client et renforce l'ostracisme dont elles et leurs enfants sont victimes de la part de tous, de l'épouse en titre et des enfants "légitimes" en premier.]
C'est comme si je m'étais ensuite astreinte à rejouer le scénar, juste un peu plus soft, en endossant son rôle.
* Celle notamment où le jeune mari exaspéré enfin reçu chez "lui" impose sa femme en la prenant par la main et la conduisant vers sa mère (qui cependant à l'instant vient de refuser de la voir -en chinois-) sans que celle-ci ne comprenne le geste inouï qu'il vient d'accomplir et qu'il lui a fait accomplir.
** Idem.
__________________________
Idem me revient l'histoire de Léa (Pearl Buck toujours, je crois?) la fille juive rejetée par sa famille parce qu'ils ne parviennent pas à la marier, réduite au rang de servante.. qui tue par accident son frère odieux se moquant d'elle et son dernier espoir déçu. A vérifier. La même histoire -vraie en ce cas- m'a été racontée.. Étrange ! Est-elle banale ? Les jeunes filles juives maltraitées/méprisées au bénéfice d'un frère unique mis sur piédestal... qui les tyrannise comme tous en toute impunité auraient-elles tendance à s'en débarrasser de la sorte? (Un coup de couteau en les deux cas.) Ma foi... Profit et pertes d'une culture de merde.
jeudi 25 juin 2015
Auschwitz commence quand..
Auschwitz commence lorsque quelqu'un regarde un abattoir et se dit : ce ne sont que des animaux
http://bibliodroitsanimaux.voila.net/adornominimamoralia.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Theodor_W._Adorno
http://bibliodroitsanimaux.voila.net/adornominimamoralia.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Theodor_W._Adorno
mardi 23 juin 2015
Lettre ouverte aux gendarmes
Cévennes de merde, 3. Lettre ouverte aux gendarmes
CONDIGNES.. CONSIGNES EN CAS D'AGRESSION
... Adoncques Messieurs les Gendarmes, voici, à l'intention des victimes, une lettre-type leur indiquant la conduite à tenir devant une agression pour éviter que celle-ci ne dégénère... que je vous invite à apposer dans toutes les gendarmeries et commissariats à coté des affichettes destinées aux femmes battues, avis de recherche etc..
Étant donné ce qu'on appelle l'évolution des mœurs, et conjointement la diminution drastique de vos effectifs en des endroits reculés comme le nôtre, (vous ne pouvez en effet être partout, je vous l'accorde, et traitez d'abord les urgences) votre travail étant devenu de plus en plus difficile voire impossible, je vous propose le modèle, (à modifier selon les situations), de ce que doivent être propos et comportement des victimes potentielles vis à vis de tout agresseur vocatif afin de prévenir des dérives coûteuses et dangereuses pour elles et pour la société. À distribuer à toutes les femmes (ainsi qu'aux hommes pas trop costauds et aux fragiles en général) nouvellement venues dans nos contrées (1) et non touristes, ce qui aggrave le cas) pour leur éviter insultes, coups et plus si affinités (2) que DE VOTRE PROPRE AVEU, VOUS NE POURREZ PALIER, NI MÊME TRAITER. VOICI PAR EXEMPLE CE QU'IL EÛT FALLU QUE JE DISE HIER :
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"Excusez-moi, Monsieur le Buraliste Pompiste de Meuranes sur Cèze, que je salue ici avec tout le respect dû à vos cent kilos et votre mètre quatre vingt dix, mais mon pauvre chien que voici, qui a fait sept kilomètres à pied depuis Saint-Ambroix a vraiment très chaud et soif et, eût égards à l'immense bonté que je devine dans votre regard amène et à votre sympathique allure, vous serait-il possible DE ME VENDRE UNE BOUTEILLE D'EAU et... de le laisser entrer... euh, pardon, pas "entrer", non, non non, veuillez excuser cette impertinence, L'HYGIÈNE d'une pompe à essence évidemment, ou d'un bureau de tabac, bien sur, bien sur... mais de me permettre de l'attacher à L'OMBRE de votre superbe officine rouge et verte décorée Total, un endroit qui éventuellement pourrait être considéré comme un lieu public... mais, non, non, je m'égare, je ne saurais discuter vos droits, les droits inaliénables du Pompiste que vous m'exposez si clairement, aïe mes cervicales : devant chez vous, c'est chez vous, je vous le concède bien volontiers, sinon on ne pourrait pas entrer, logique imparable et même je vais plus loin, la route aussi finalement, sinon on ne pourrait pas.. mais calmez-vous, Monsieur le Pompiste brutaliste, je ne voulais pas altérer votre belle humeur de l'instant, vos remarques sont pertinentes et je vais même encore plus loin : même l'ombre, gratuitement fournie, qui est celle de la magnifique boutique (que vous louez si cher, sans compter les impôts je sais je sais) en ce sens vous appartient aussi, c'est pourquoi mon humble requête car dehors, Monsieur le Pompiste Brutaliste, ça cogne trop fort. Ici aussi ? La porte que, maladroitement, par trois fois, violemment, vous lançâtes, sur mes petites pattes? Mes poignets que, à les rompre, vous secouâtes, et moi avec, comme un sac de patates ? Mais ce léger mouvement d'humeur est déjà oublié, voyons! car il marche depuis une demi-heure, et est épuisé, merci infiniment, je vous en serais éternellement reconnaissante.."
A genoux si possible, c'est mieux...
A genoux si possible, c'est mieux...
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(1) Car celles qui y vivent de toujours, les INDIGÈNES pur jus, par une sorte de réflexe conditionné de survie, s'écrasent spontanément comme des carpettes sans qu'il soit nécessaire de le leur recommander et ceci quelque soit leur niveau intellectuel. LES CHIENNES DE PAVLOV. Ainsi Nicole me disait-elle de ce gus, à l'évidence un infect macho comme du reste il s'en fait gloire (voire perturbé, peut-être un asp?) terrorisant visiblement sa triste jeune femme, ne m'avait-elle pas assuré sans rire qu'au fond, il était sympa? (?!!) "SI, JE T'ASSURE, QUAND ON LE CONNAIT"... à quoi j'avais rétorqué, agacée, que je préférais les gens sympa MÊME QUAND ON NE LES CONNAISSAIT PAS. -"Oui évidement, IL FAUT SAVOIR LE PRENDRE, il va vite à péter les plombs, mais à présent, avec moi, ça va." (!!) Et il s'agit d'une CLIENTE ! Et d'une femme intelligente, non démunie, une battante hors pair. Que dire alors des autres? Que dire si la situation était inversée ? Voilà de fait où en sont réduites les femmes ici : à solliciter les bonnes grâces d'un commerçant abruti, odieux, mal embouché et violent.. (et qui s'en targue fièrement) .. et que PAR LEUR PRATIQUE, ELLES FONT VIVRE. Le sexisme, (ainsi que la pénurie, il n'y a pas d'autres pompes avant Alès), c'est là, au quotidien, qu'IL NOUS DÉMOLIT... SANS QUE NOUS NE NOUS EN APERCEVIONS.
(1) Car celles qui y vivent de toujours, les INDIGÈNES pur jus, par une sorte de réflexe conditionné de survie, s'écrasent spontanément comme des carpettes sans qu'il soit nécessaire de le leur recommander et ceci quelque soit leur niveau intellectuel. LES CHIENNES DE PAVLOV. Ainsi Nicole me disait-elle de ce gus, à l'évidence un infect macho comme du reste il s'en fait gloire (voire perturbé, peut-être un asp?) terrorisant visiblement sa triste jeune femme, ne m'avait-elle pas assuré sans rire qu'au fond, il était sympa? (?!!) "SI, JE T'ASSURE, QUAND ON LE CONNAIT"... à quoi j'avais rétorqué, agacée, que je préférais les gens sympa MÊME QUAND ON NE LES CONNAISSAIT PAS. -"Oui évidement, IL FAUT SAVOIR LE PRENDRE, il va vite à péter les plombs, mais à présent, avec moi, ça va." (!!) Et il s'agit d'une CLIENTE ! Et d'une femme intelligente, non démunie, une battante hors pair. Que dire alors des autres? Que dire si la situation était inversée ? Voilà de fait où en sont réduites les femmes ici : à solliciter les bonnes grâces d'un commerçant abruti, odieux, mal embouché et violent.. (et qui s'en targue fièrement) .. et que PAR LEUR PRATIQUE, ELLES FONT VIVRE. Le sexisme, (ainsi que la pénurie, il n'y a pas d'autres pompes avant Alès), c'est là, au quotidien, qu'IL NOUS DÉMOLIT... SANS QUE NOUS NE NOUS EN APERCEVIONS.
(2) Surtout que c'est la DEUXIÈME FOIS EN MÊME PAS UN AN, je trouve que ça y va fort dans les statistiques. http:// femmesavenir.blogspot.fr/2014/ 12/mpn-ou-assimiles-parmi- nous-au.html
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MISÈRE ANIMALE, MISÈRE FEMINALE
Je sais, je sais : la misère animale et la misère.. {comment dire? féminine? Non. Féministe? Surtout pas. Féminale? Là, ça va, mais il faut créer le mot}, la misère animale et la misère FÉMINALE donc, sont d'abord la misère humaine en général, or nous détenons le record de la région la plus pauvre de France -après la Seine Saint Denis- et, dans cette région, celui de l'endroit le plus défavorisé (!) un sans-faute avec félicitations du jury, ce qui peut expliquer l'impensable brutalité ici des rapports improprement dits humains (1) sous des dehors souriants sucrés, mais MEEERRRDE.
(1) Rapports humains mon cul, comme dirait Zazie, il faudrait dire ANIMAUX et inverser : Yok hier soir, pour la première fois, (l'angoisse après l'histoire du pompiste?) s'est battu et il a fait fort : ni plus ni moins... avec un Pitt, un vrai de vrai que son maître, alcoolisé après la fête de la musique, ne pouvait tenir (du reste, il n'essayait même pas !), moi si pour ce qui est du mien, par la queue ! mais ça le mettait en situation d'infériorité. Quelques secondes mais assez effrayantes. Heureusement deux jeunes dont une fille ont bondi et se sont interposés, mais, même soulevé par le garçon, le pitt ne lâchait pas la lèvre de Yok que je tirais de toutes mes forces et qui hurlait, j'ai vu le moment où il emportait le morceau.. Puis je ne sais ce qu'a fait le gars ou la fille (génial !) mais il l'a tout de même lâché*.
Eh bien lorsque je l'ai ensuite examiné, sûre qu'il devait avoir la babine en lambeaux, il n'avait en réalité STRICTEMENT AUCUNE BLESSURE, NI MÊME DE MARQUE. C'ÉTAIT DU FLAN ! Alors, question : QUI EST "HUMAIN" ? les animaux, y compris ceux considérés comme DANGEREUX, ou les hommes? Et encore là, les deux bêtes, pardon, HOMMES, étaient-elles de force à peu près égale, Yok, plus vif et de plus lourd gabarit mais le Pitt, doté d'un mordant plus puissant ... alors que dans le cas humain, pardon, ANIMAL, on a un gros mâle aux yeux glauques de 47 ans environ, 1,90 m, 100 kg ou davantage (le Pompiste Buraliste) et une vieille femelle -certes assez endurante-, 67 ans, 1,60, 58 kg, (moi.)
Alors, question : QUI DES DEUX EST L'ANIMAL, DE YOK, DU PITT OU DU POMPISTE?
Eh bien lorsque je l'ai ensuite examiné, sûre qu'il devait avoir la babine en lambeaux, il n'avait en réalité STRICTEMENT AUCUNE BLESSURE, NI MÊME DE MARQUE. C'ÉTAIT DU FLAN ! Alors, question : QUI EST "HUMAIN" ? les animaux, y compris ceux considérés comme DANGEREUX, ou les hommes? Et encore là, les deux bêtes, pardon, HOMMES, étaient-elles de force à peu près égale, Yok, plus vif et de plus lourd gabarit mais le Pitt, doté d'un mordant plus puissant ... alors que dans le cas humain, pardon, ANIMAL, on a un gros mâle aux yeux glauques de 47 ans environ, 1,90 m, 100 kg ou davantage (le Pompiste Buraliste) et une vieille femelle -certes assez endurante-, 67 ans, 1,60, 58 kg, (moi.)
Alors, question : QUI DES DEUX EST L'ANIMAL, DE YOK, DU PITT OU DU POMPISTE?
*Renseignements pris, le jeune mec -un costaud !-connaissait le chien, ça aide ! du reste un très bon chien, en principe pas agressif du tout, et il lui a simplement asséné plusieurs coups mais très violents sur le museau. Tous les pitts n'auraient pas lâché mais celui-là était un bon. Et le pauvre chien, lui, a été (mais très légèrement) mordu. Tous les torts sont donc du coté de York.
Hélène Larrivé
Hélène Larrivé
dimanche 21 juin 2015
Cévennes de merde
Un grand mec baraqué, pompiste de son état
Il a le droit,
Et buraliste aussi.
C'est bien utile
Pour avoir de l'essence..
Sept kilomètres avec le chien
Ce n'est rien...
Mais le soleil de Satan,
Ça c'est quelque chose !
Presque plus d'arbres,
A quoi bon, la clim n'est pas faite pour...
Justement, les chiens.. ni pour les piétons
D'ailleurs de piétons il n'y en a presque plus
Forcément..
La route de mon enfance,
Celle que Marguerite faisait tout le temps
Pour moi. On arrive dégoulinants,
Je veux dire langue au sol
On rentre dans la boutique
Le bonheur de la clim,
Hurlements du Monsieur,
Pompiste de son état etc..
Non, cris d'abord, hurlements après
"Sortez ! Rentrer avec un chien!!!"
Yeux au ciel, méprisant. Pourquoi?
Dans un bureau de tabac?
Lui aussi a chaud.
Cette seule question le met en colère:
Et même l'exaspère
Attachez le dehors.
OK. Devant la porte, pas d'autre endroit.
Sagement il attend.
Il n'est pas méchant.
Je parle du chien, évidemment.
Je ressors et avant de reprendre route
Nous attendons sur le coté,
A l'ombre, assis dos à dos
Que le soleil soit un peu tombé
Il a soif. Après tout, ils vendent de l'eau?
Je l'attache à nouveau.
Le Monsieur baraqué, pompiste de son état etc..
Sort, mais en fureur cette fois.
C'en est trop ! Que faites-vous encore là?
Ça commence à chauffer..
"Là", un, c'est un lieu public.
Et deux, je veux acheter de l'eau,
Tout simplement!
OK mais pas le chien
Ici mais là : un endroit, impossible, il n'y a rien
Et.. en plein soleil !!
"Pas question ! Faites moi passer une bouteille
Et je vous paierai dehors, c'est tout."
Je le laisse. Hurlements accentués,
Cette fois mâtinés,
De gesticulations menaçantes.
Pour qui vous prenez-vous de me parler ainsi?
Je vous parlerai comme j'ai envie un point c'est tout..
Et votre bouteille d'eau vous ne l'aurez pas.
Et me referme la porte dessus avec un cri :
ET MA CLIM MERDE !!
Je la réouvre aussitôt, ça fait en peu de frais.
VOUS ALLEZ LAISSER CETTE PORTE?
Non, je ne la laisserai pas. Et je veux de l'eau.
Il est emmerdé, des clients arrivent
Un peu étonnés. La referme, je la réouvre
Et alors me saisit aux poignets et me secoue
A peu près comme un sac de blé.
Yok n'a pas bronché. (Au moins je sais à présent
Qu'il n'est pas méchant).
Je la réouvre lorsqu'il rentre, (servir, qui sait?)
Hurlements. Moi aussi.
Vous êtes un grossier macho..
Mais je veux de l'eau..
Je sais on me le dit tout le temps
Et j'en suis très fier. Maintenant dégagez
Et vite. Sans eau.
A ce point vous devriez
Changer de boulot.
Et je réouvre la porte.
Cette fois il s'avance d'un air ... un air.. ?
De vouloir tuer, tout simplement..
Me re secoue mais de toutes ses forces
Par les poignets. Je hurle.
Un client arrive, Il me lâche. A peine gêné.
Je vais appeler les gendarmes,
Vous avez cassé ma porte (?)
Mais faites donc..
Voilà. On est partis sous la cagne,
Yok et moi. Sans eau. Et les poignets..
Les gendrames.. euh gendarmes me disent
D'aller porter plainte demain.
Merci, pour ça j'ai déjà donné
Pas de témoins, sauf sa femme..
Terrorisée, qui n'avait pas bronché.
Je me vengerai autrement.
Je crois savoir comment..
On s'est baignés, non, jetés à l'eau!
En arrivant.
Il n'est vraiment pas méchant.
Cévennes de merde.
________________________
Intuition..
Ce mec, je l'avais déjà détecté,
Sa triste jeune femme, amicale,
-Même lorsqu'on ne la connaissait pas!-
M'abreuvait de ses histoires de bêtes,
Et moi aussi. Mais parfois, imprévisiblement,
Changeait.
"Comment va votre nouveau chat" ?
"Très bien" (sec).
Son gus était derrière,
Que je n'avais pas vu.
Par la suite, juste à sa manière
De me dire bonjour, je savais
Et n'insistais pas.
Un malade, un syndrome...
De quelque chose? Michou m'avait dit :
Non en fait, il est sympa...
LORSQU'ON LE CONNAIT.
Je lui avais répondu que je détestais
les gens sympa quand on les connaissait
Et préférais les gens sympa
Quand on ne les connait pas..
Il a le droit,
Et buraliste aussi.
C'est bien utile
Pour avoir de l'essence..
Sept kilomètres avec le chien
Ce n'est rien...
Mais le soleil de Satan,
Ça c'est quelque chose !
Presque plus d'arbres,
A quoi bon, la clim n'est pas faite pour...
Justement, les chiens.. ni pour les piétons
D'ailleurs de piétons il n'y en a presque plus
Forcément..
La route de mon enfance,
Celle que Marguerite faisait tout le temps
Pour moi. On arrive dégoulinants,
Je veux dire langue au sol
On rentre dans la boutique
Le bonheur de la clim,
Hurlements du Monsieur,
Pompiste de son état etc..
Non, cris d'abord, hurlements après
"Sortez ! Rentrer avec un chien!!!"
Yeux au ciel, méprisant. Pourquoi?
Dans un bureau de tabac?
Lui aussi a chaud.
Cette seule question le met en colère:
Et même l'exaspère
Attachez le dehors.
OK. Devant la porte, pas d'autre endroit.
Sagement il attend.
Il n'est pas méchant.
Je parle du chien, évidemment.
Je ressors et avant de reprendre route
Nous attendons sur le coté,
A l'ombre, assis dos à dos
Que le soleil soit un peu tombé
Il a soif. Après tout, ils vendent de l'eau?
Je l'attache à nouveau.
Le Monsieur baraqué, pompiste de son état etc..
Sort, mais en fureur cette fois.
C'en est trop ! Que faites-vous encore là?
Ça commence à chauffer..
"Là", un, c'est un lieu public.
Et deux, je veux acheter de l'eau,
Tout simplement!
OK mais pas le chien
Ici mais là : un endroit, impossible, il n'y a rien
Et.. en plein soleil !!
"Pas question ! Faites moi passer une bouteille
Et je vous paierai dehors, c'est tout."
Je le laisse. Hurlements accentués,
Cette fois mâtinés,
De gesticulations menaçantes.
Pour qui vous prenez-vous de me parler ainsi?
Je vous parlerai comme j'ai envie un point c'est tout..
Et votre bouteille d'eau vous ne l'aurez pas.
Et me referme la porte dessus avec un cri :
ET MA CLIM MERDE !!
Je la réouvre aussitôt, ça fait en peu de frais.
VOUS ALLEZ LAISSER CETTE PORTE?
Non, je ne la laisserai pas. Et je veux de l'eau.
Il est emmerdé, des clients arrivent
Un peu étonnés. La referme, je la réouvre
Et alors me saisit aux poignets et me secoue
A peu près comme un sac de blé.
Yok n'a pas bronché. (Au moins je sais à présent
Qu'il n'est pas méchant).
Je la réouvre lorsqu'il rentre, (servir, qui sait?)
Hurlements. Moi aussi.
Vous êtes un grossier macho..
Mais je veux de l'eau..
Je sais on me le dit tout le temps
Et j'en suis très fier. Maintenant dégagez
Et vite. Sans eau.
A ce point vous devriez
Changer de boulot.
Et je réouvre la porte.
Cette fois il s'avance d'un air ... un air.. ?
De vouloir tuer, tout simplement..
Me re secoue mais de toutes ses forces
Par les poignets. Je hurle.
Un client arrive, Il me lâche. A peine gêné.
Je vais appeler les gendarmes,
Vous avez cassé ma porte (?)
Mais faites donc..
Voilà. On est partis sous la cagne,
Yok et moi. Sans eau. Et les poignets..
Les gendrames.. euh gendarmes me disent
D'aller porter plainte demain.
Merci, pour ça j'ai déjà donné
Pas de témoins, sauf sa femme..
Terrorisée, qui n'avait pas bronché.
Je me vengerai autrement.
Je crois savoir comment..
On s'est baignés, non, jetés à l'eau!
En arrivant.
Il n'est vraiment pas méchant.
Cévennes de merde.
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Intuition..
Ce mec, je l'avais déjà détecté,
Sa triste jeune femme, amicale,
-Même lorsqu'on ne la connaissait pas!-
M'abreuvait de ses histoires de bêtes,
Et moi aussi. Mais parfois, imprévisiblement,
Changeait.
"Comment va votre nouveau chat" ?
"Très bien" (sec).
Son gus était derrière,
Que je n'avais pas vu.
Par la suite, juste à sa manière
De me dire bonjour, je savais
Et n'insistais pas.
Un malade, un syndrome...
De quelque chose? Michou m'avait dit :
Non en fait, il est sympa...
LORSQU'ON LE CONNAIT.
Je lui avais répondu que je détestais
les gens sympa quand on les connaissait
Et préférais les gens sympa
Quand on ne les connait pas..
CQFD Michèle
lundi 15 juin 2015
Porcelaines, six mois après (il y a des jours où je hais les chiens)
L'article (il y a des jours où je hais les chiens)
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