A partir de la thèse de Jean-Pierre Petit, astrophysicien (lien).
"On a pu lire qu'une torpille ultra-dangereuse, propulsée par un mélange carburant comburant, ne dépassant pas 120 km/h, (abandonnées depuis 30 ans par toutes les marines) avait explosé. Que le Koursk servi par un équipage d'élite n’aurait pas eu d’équipements de sauvetage... Que toutes ses portes de communications auraient été laissées ouvertes, ce qui aurait noyé tous les compartiments d'un coup (la marine russe assura "qu'il y avait peu de chances qu'on retrouve qui que ce soit de vivant")… que le Koursk, posé sur un fond de 90 m seulement ne disposait d'aucun moyen de communication si ce n'est les coups frappés par l'équipage que de nombreux navires enregistrèrent pendant les jours qui suivirent !
Des incohérences : le croiseur Pierre le Grand à propulsion nucléaire, lorsque le naufrage du Koursk se produisit, au lieu de s'approcher, s'éloigna. Or la partie supérieure de sa coque était à 90 m de la surface et la présence de survivants était certaine. Et 90 m, pour un sous-marin échoué sur le fond, ce n'est rien. C'est une profondeur que peuvent atteindre des plongeurs simplement à l'air, limite, mais jouable. S'il y avait un sas coincé, il aurait été possible de le décoincer en tirant dessus de l'extérieur : toutes les marines disposent de simples sacs qu'on remplit d'air et qui (par la poussée d'Archimède) peuvent déployer des forces d'arrachement considérable. Le Koursk était super-équipé en matière d'évacuation, il y avait maints bateaux de toutes nationalités autour, et le temps était idéal.
Le trou : un trou rond, taillé à l’emporte pièce, béait sur son flan (image) d'un diamètre d'1 m et "les tôles sont pliées vers l'intérieur", ce qui évoque un "tir au contact" avec un obus à haut pouvoir de perforation, introduisant une charge explosive temporisée. Le dard, projeté en avant à très grande vitesse, perce aisément des blindages dépassant 10 cm.
Deux rumeurs : un ingénieur atomiste ayant travaillé sur le Koursk aurait été assassiné et "retrouvé découpé en morceaux" et une mutinerie se serait produite à bord : au moment où les enquêteurs auraient pénétré dans la coque renflouée ils auraient retrouvé l'officier chargé de garder la salle d'arme une balle dans la tête.
Les torpilles top secret : les américains ont développé dès 70 une torpille MHD (2000 km/h !) d’une importance capitale : l'arme la plus dangereuse en cas de conflit nucléaire est le sous-marin. Les russes ne furent-ils pas dès les années 50 leaders en matière de MHD ?
Une branche du KGB anti Poutine assure qu’un général chinois avait embarqué ainsi que 2 arabes. Il était question de tirer devant eux une torpille MHD. Les services secrets américains étaient au courant : un sous-marin s'est approché du Koursk et lui a intimé par sonar l'ordre de faire surface et de lui remettre ses 3 VIP. Le commandant a refusé et les américains ont lancé un tir au contact à charge différée qui permet à l’assaillant de prendre le large (il y eut 2 explosions, le 2ème plus forte que la 1ère.) En visant la salle des torpilles, le tir coulera sa cible mais aucun signal sonar trahissant la course d'une torpille ne sera détecté et on pourra croire à un "simple accident".
Les russes craignent que l'on n'apprenne la présence de ces VIP et qu'on découvre ces torpilles. Le Pierre le Grand lance un ordre sonar de verrouiller à distance toutes les issues du Koursk, met HS ses dispositifs d'évacuation et de communication puis émet un message à l'attention de tout ce qui navigue en mer de Barentz : "le premier qui s'approche du Koursk, on le coule". Il y a eu ensuite tentative de récupération des VIP à l'aide d'un sous-marin de poche (cf des images) qui ne pouvait évacuer que 8 personnes -c’est là qu'il y aurait eu mutinerie-. Quant à la récupération "pour raisons humanitaires" ! si la partie avant a été sectionnée, c’est qu’il devait y subsister des MHD dont la Grosse de 1 m mètre de diamètre."
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